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OK. Facile. Thom Yorke et sa bande étaient ici en début de semaine et je ponds un SC le dimanche qui suit sa prestation à Bercy. Peut-être. Sauf que j’avais envie de l’écrire depuis longtemps cet hommage à un des plus grands groupes de rock de ces 15 dernières années…
Tellement de choses à dire… D’autres le font mieux que moi, je ne reviendrais donc pas sur la biographie du groupe. Si tu passes ici régulièrement, tu as remarqué que la “ligne éditoriale” (tout de suite les gros mots !) du blog est plutôt axée musique électronique (quoi qu’avec Elo et Alexis qui viennent de se pointer, ça commence à changer) Mais le blog s’appelle Free Your Mind et je n’écoute donc naturellement pas que de l’electro…
J’écoute Radiohead depuis leur 2nd album The Bends. Très vite, je suis revenu (et j’ai bloqué) sur le single qui a fait découvrir le groupe, Creep (présent sur Pablo Honey, le 1er album). Et la version acoustique entendue la 1ère fois sur Radio Nova m’a fait redécouvrir ce titre magique.
On entend souvent dire que tout fonctionne par cycle : les grands thèmes de société, la politique, la mode, l’amour, la musique… C’est vrai. Aussi loin que je me souvienne, j’ai eu beau naviguer pendant toutes ces années à travers les styles (trip-hop, drum’n’bass, french touch, techno…), j’ai toujours (ré-) écouté Radiohead. Et les récentes incursions de Thom Yorke dans l’electronica (Kid A et Amnesiac) ne m’ont pas trop surpris pour un type qui est aussi fan de la musique torturée d’Autechre.
Tout ça pour dire que la musique de Radiohead ne s’explique pas, elle se ressent… Et que s’il y a bien des groupes qui me font dire “Merde ! Je suis content de faire tout ce je fais pour la musique… à son service”, Radiohead en fait partie.
Radiohead, le groupe de toute une (putain) de vie.
Radiohead – No surprises (live acoustic)
Radiohead – Motion picture soundtrack (live acoustic)
FREE YOUR MIND 